02. Ce matin, Jukin a eu envie de jouir debout.
Il ne sait pas trop ce qui lui a pris, cependant, il ne pouvait pas s’enlever cette idée de la tête. C’est peut être cette énorme érection matinale qui l’obsédait. Mais vraiment, il n’avait jamais vu sa verge dans de telles proportions. Ça l’inquiétait presque. Et si c’était une maladie dégueulasse. Une fois douché et son pénis revenu à une taille normale, il ressentait encore le besoin de se laver. C’est ce sentiment qui lui inspirait de la crainte. Celle d’être envahit par un agent infectieux. Il s’imaginait des bêtes terribles le parcourant dans les plus petites parcelles de tissu organique le constituant. Il se mit à se jeter en l’air, en effectuant des vrilles folles. Comme s’il voulait sortir de lui même, pour se débarrasser de ses aliens. Une fois qu’un mal de crâne insupportable l’eut paralysé, il se calma et s’imposa de rationaliser : « je suis rempli de microbes et ils me sont vitaux de toute façon. » Il n’était pas réellement soulagé, mais ça lui évitait de paniquer aussitôt. L’envie lancinante de jouir debout lui revint encore. Et cette fois sous un jour nouveau. Il y voyait aussi un moyen de se débarrasser de sa maladie. La violence de l’éjaculation, comme une explosion salvatrice, emporterait avec elle les germes malfaisants. Il jubilait. Mais soudain, un doute s’insinua. Son érection fabuleuse reviendrait-elle ? Déjà un picotement aux couilles lui indiquait qu’une bandaison était imminente. Il ne pouvait pas encore en deviner la qualité. Jukin savait pertinemment qu’il ne devait pas se forcer et laisser venir les choses. Invoquer mentalement le contexte matinal avait le pouvoir de le placer dans de bonnes dispositions, à condition de ne pas s’y limiter en voulant à tout prix y être fidèle. Sa queue était bien dure, il la serra dans sa main. Il avait déjà atteint le gonflement habituel, et plein d’espoir, il se sentait largement de la ressource. Patience, patience. De nouvelles images se projetaient sur l’écran de sa conscience. Toutes neuves et pleines de sueur, elles glissaient remplir ses corps caverneux, quitte à les faire craquer. Ça venait, c’était énorme. Il en pris conscience un instant, ce qui interrompu le processus. Aussitôt il se replongea en lui même et sorti son membre. Il déborda littéralement. Il l’avait. Il la tenait la fabuleuse gaule. Il s’y cramponna des deux mains et prolongea encore ses films mentaux. Sa tunique et son pantalon traversèrent la pièce d’une jolie hyperbole. Il serra les dents et fronça les sourcils. Il voulait se retenir jusqu’au malaise, afin d’accumuler la totalité des germes dans son chibre bleui maintenant. Il continuait de foncer quand tout parti d’un coup. Il fût projeté en arrière, tandis que la jute recouvrais toute la surface du mur jusqu’à déborder sur le plafond. Jukin fini sur le flanc et expira. Un sourire extatique, presque crispé, déformant ses lèvres.
ouf
RépondreSupprimerQuel suspens !! ^_^
RépondreSupprimerÉvidemment je commente la deuxième, j'essaierai de revenir régulièrement suivre les aventures palpitante de Jukin. Un personnage qui sent le vécu...
RépondreSupprimerje suis contre la reproduction
RépondreSupprimer